
Investissement dans les infrastructures pour l’inclusion, l’industrialisation et l’innovation
La Banque est présente sur de nombreuses plateformes d’infrastructures, forums et engagements de financement à l’appui des objectifs de développement durable des Nations Unies.
Dès le début, elle s’est engagée, en tant que co-financier, à renforcer les capacités de partenariat public-privé et à stimuler le financement des institutions arabes de développement.
Il convient de noter que la plateforme Africa 50, le Fonds mondial pour les infrastructures et le Centre mondial des infrastructures du G20 comptent parmi les programmes les plus importants mis en œuvre en Afrique. À l’avenir, les infrastructures devront suivre le rythme de la quatrième révolution industrielle.




Initiative stratégique : un catalyseur pour les investissements arabo-africains
Les opportunités d’investissement dans les infrastructures en Afrique augmenteront en taille et en qualité, d’au moins 90 milliards de dollars par an.
Toutefois, les opportunités ne sont pas les mêmes dans les différentes régions du continent et dépendent des conditions et des capacités locales. Les investissements doivent donc être réglementés différemment en fonction des progrès économiques très variables en Afrique.
Les opportunités d’investissement dans les infrastructures ne se limitent pas au simple financement ; elles nécessitent également la création de marchés pour libérer tout leur potentiel.
Le mécanisme d’incitation à l’investissement arabo-africain proposé n’est pas seulement conçu pour financer des projets prêts à l’emploi, mais également pour développer de futurs projets bancables.




Fonds Catalyseur
Le Fonds de relance adopte une approche de financement intégrée à travers laquelle la BADEA développe sa marque pour le financement concessionnel, renforce son rôle dans la réduction des risques et attire d’autres financiers en tant que ressources extrabudgétaires.
La BADEA apporte son soutien à la préparation des projets au sein de sa chaîne de valeur de financement.
Cela permet à la Banque d’engager et de diriger de manière sélective des financements de projets structurés et d’élargir ainsi la portée de ses diverses facilités de financement.
Cependant, à cause de l’élargissement de certains projets qui dépassent la capacité de financement de la Banque, la part de financement de la Banque diminuera par rapport à celle des autres donateurs, y compris le secteur privé, qui devrait être à l’initiative.